TITRE : A comme Association
Tome 5 – Là où les mots n’existent pas
AUTEUR : Erik L’Homme
EDITIONS : Gallimard Jeunesse/Rageot Editeur
Résumé
Prénom : Jasper.
Âge : 16 ans.
Description : grand, maigre, peau blafarde et yeux charbon.
Profession : Agent stagiaire àl'Association et lycéen (à ses heures perdues)
Signes particuliers : pratique la magie et joue de la cornemuse dans un groupe de rock médiéval.
Aime : les mauvais jeux de mots, Donjons & Dragons, l'Agent stagiaire Ombe.
Mission : venger son amie Ombe.
Mon avis
J’ai débuté ce tome 5 avec une certaine appréhension. Cette saga a été écrite par deux auteurs et éditée par deux maisons d’éditions. Or, Pierre Bottero, le second auteur, venait à peine de terminer le tome 4 qu’il est malheureusement décédé… Et en lisant les premières pages, je me suis aperçue qu’en plus d’avoir perdu l’un de ces auteurs, on perd l’un des personnages principaux. Erik L’Homme a subi un double deuil…
Jasper, membre de l’Association, se retrouve à l’hôpital suite à un accident de moto… Il était avec son amie, Ombe, lorsqu’un tueur les a prit pour cible. Ombe est morte, et fou de chagrin, Jasper décide de la venger.
Ce tome est plus sombre, plus mûr que les précédents. Le drame est certes présent mais les petites touches d’humour typique de cette saga sont toujours présentes. Et pour la première fois, le lecteur a un aperçu du point de vue de Walter et Mademoiselle Rose. Jasper est devenu plus adulte en faisant face à l’épreuve et j’ai hâte de connaître la suite de cette histoire surtout qu’Erik L’Homme n’a pas totalement enterré Ombe…
Extrait
Personne n’est entré chez moi depuis cette funeste nuit de Noël ; le sortilège sur la porte est toujours en place. Par chance, je n’ai pas fermé à clé en partant. Je voulais frimer auprès d’Ombe, lui montrer que j’avais toute confiance dans ma magie.
Pour une fois que jouer l’intéressant me sauve la mise…
Parce que les clés sont dans ma sacoche, rue du Horla, et qu’il est hors de question que j’aille les récupérer. « Bonsoir Rose ! Ne vous dérangez pas, je ne fais que passer ! Je me suis enfui de l’hôpital et j’ai besoin de mes clés ! »
J’imagine sa tête. Et la mienne juste après. Au carré…
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